Biologisch-dynamische Präparate - Teil 2 von Vincent Masson, 28. Februar 2024

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Biologisch-dynamische Präparate - Teil 2 von Vincent Masson, 28. Februar 2024

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Donc, on va aller dans des aspects plus précis, mais on va quand même aussi essayer de comprendre les choses. Et pour ça, je vais m'aider de pas mal de citations. On a la chance d'avoir un lecteur et ces citations, elles vont nous ramener aussi au fil du temps parce qu'on va voir comment la compréhension des choses, elle s'est construite au fil du temps.

Et pour comprendre, on a besoin d'aller en dehors du monde agricole. Les pharmaciens sont extrêmement précieux. C'est des gens qui travaillent sur les substances, sur les processus.

Mais les géologues, les prêtres, il y a plein de gens qui s'intéressent au monde. Donc, vous avez ici les sept points qu'on va explorer maintenant. Et vous l'avez compris, c'est les points que j'explore quand j'arrive sur une ferme ou sur un domaine pour voir si on peut améliorer des choses.

Et j'estime qu'on n'est pas obligé d'être au top sur tout, mais on ne peut pas être trop approximatif sur trop de choses. Après, chacun fait ses choix. Le premier point, c'est la qualité des préparations.

La question m'a été posée pendant la pause, mais moi je fais des préparations au domaine, qu'est-ce que tu en penses ? J'en pense beaucoup de bien, à condition qu'elles soient très bien faites et très bien entretenues. Et pour moi très bien faites, le terme qui permet de résumer ça, c'est l'état colloidal de la substance. Un colloïd, c'est un état en fait.

Et l'état colloidal, il est un état instable, un état qu'on appelle labile, entre le solide, le liquide, le gazeux, c'est toujours une association de plusieurs états de la substance. L'état colloidal, vous le trouvez à la base de tout ce qui est vivant. Vous avez des colloïds dans le sol, vous avez des colloïds dans le monde végétal, dans le monde animal et dans le monde humain, et dès qu'il n'y a plus l'état colloidal, par exemple parce qu'il s'est trop densifié, qu'il s'est trop durci, il n'y a plus de vie.

L'état colloidal semble être l'état nécessaire pour que le vivant rencontre la matière. Si vous avez envie, tout à l'heure, à la pause, vous regardez, j'ai mis les différentes préparations ici, et pour moi le but c'est qu'elles soient toutes colloidales, complètement transformées. On reconnaît difficilement la substance initiale, et elles sont dans cet état toujours humide, toujours très souple, pâteux, et elles ne doivent jamais sécher et jamais aller vers trop humide.

Trop humide, ça veut dire que ça commence à puer, ça veut dire qu'on passe dans des phases anaérobies. Mais ça doit rester très humide. Donc voilà, ça pour ceux qui veulent, vous ne vous gênerez pas, vous ouvrez les couvercles, vous touchez, il n'y a pas de problème.

L'état colloidal, c'est aussi l'état qu'on va rechercher si on veut partir d'une substance inerte et qu'on veut la ramener pour la mettre en lien avec le vivant. Par exemple, on prend du cristal de quartz, et on veut que la plante puisse s'emparer de ce qui est contenu comme capacité à agir là-dedans. C'est un peu difficile.

Quand on arrive à faire avec ça une poudre suffisamment fine, c'est ce qu'on fait pour la silice de corne, vous faites avec ça une poudre suffisamment fine, il n'y a rien, je sens rien d'autre que de la farine là sous mon doigt. Si je mets un petit peu d'eau avec ça, ça devient une pâte, et ça prend les caractéristiques d'un colloïd. Si j'amène le minéral dans un état colloidal, il peut s'adresser au vivant.

L'état colloidal, c'est l'état où la substance, elle peut entrer en interaction avec le vivant. On le verra, c'est Friedrich Benesch qui raconte ça, il dit que l'état colloidal c'est le pont entre l'état physique et l'état physiologique de la substance. Je vous emmène dans quelques citations.

Almar von Wistinghausen, le père von Wistinghausen, il écrit dans ses souvenirs qu'en parlant des préparations, il dit qu'elles ne peuvent pas être trop humides ni trop sèches, sinon les forces ne peuvent pas s'en emparer. Donc il a déjà une idée très précise de l'état dans lequel les préparations doivent être. On va trouver ce même genre d'idée chez Pfeiffer en 1935, c'est en anglais, le guide pour l'utilisation des préparations biodynamiques.

Lui, il dit qu'on doit garder les préparations dans un état humique. Kabisch, dans le petit guide pratique dont j'ai parlé tout à l'heure, il va parler de préparation semi-solide. Köpf, lui, il dit qu'il ne faut pas les laisser se dessécher.

Rehmer, en 1949, parle aussi de préparation humide, et puis en 1980 il dit qu'il faut qu'elle soit bien sèche. C'est nouveau, je ne sais pas d'où ça vient. Dans les différents livrets de Wiesninghausen, il dit qu'on peut les garder sèches ou on peut les garder humides.

Puis il explique ce qui peut aller ou pas avec l'une ou l'autre des solutions. Mais dans sa réédition de 2007, il y a d'autres auteurs qui sont venus compléter l'équipe éditoriale et ils exposent les deux possibilités mais ils orientent vers une préférence pour la voie sèche. Podolinski, dans son petit livret pratique, qui a eu plusieurs éditions successives, lui, il dit qu'elles doivent être conservées dans le même état du muscoloïdal que lorsqu'elles ont été retirées du sol, c'est-à-dire un état comme des turicules de ver de terre frais.

Sinon, l'efficacité est perdue. L'image du turicule de ver de terre, elle est super claire, on sait tous à quoi ça correspond, en fraîcheur, en humidité, en souplesse. Beaucoup de gens ont parlé de l'état colloïdal, en particulier pour parler de l'état de vitalité de la Terre et de son évolution et de sa métamorphose.

Vous avez ici une petite citation de Rudolf Rauschka ? Je vous laisse la lire. « Toutes les liquides organiques des animaux humains et des plantes sont comme caractéristiques de la nature colloïdale. C'est-à-dire qu'elles se sépareraient des énergies vivantes, car l'état colloïdal des liquides est celui dans lequel ces énergies peuvent s'intégrer en formation.

Le sal détruit les états colloïdaux du sol, car c'est grâce au sal que les colloïdes sont éliminés et ne peuvent plus être un point d'attaque des énergies vivantes. » Vous l'avez lu ? Non. Une qui est un petit peu plus compliquée, mais qui parle, mais qui dit beaucoup de choses.

Vous allez voir là-dedans comment l'état colloïdal permet à la substance d'agir dans le monde du vivant, mais d'être également très facile à perturber. La puissance est dans deux directions différentes. Le status colloïdal consiste à la présence d'une réalité qui ne peut pas s'appliquer à l'état de l'agrégat.

C'est un état de matériel inévitable de la solution et de la fixation, entre la vie et la vitalisation, qui peut s'éloigner de l'avant et de l'arrière. Si l'on devait essayer d'expliquer ce texte là, on peut y passer la journée. On parle de la définition physique de l'état colloïdal.

On parle de sa capacité à se transformer en un être. à interagir avec le monde des forces, subtil, et on amène à la question de qu'est-ce que c'est, tout ce qui s'est densifié dans la matière, dans notre monde. D'où ça vient ? Quel est l'état initial de la substance ? Mais quand vous regardez la proposition de Steiner, c'est que toutes les impulsions sont issues du monde spirituel et que tout ce qui s'est densifié sur terre, c'est l'aboutissement de processus.

Mais tout ce qui s'est densifié, on pourrait le voir comme des êtres spirituels qui ont abandonné leur liberté pour jouer un rôle dans la destinée de la terre, dans la destinée de l'humanité, dans la destinée du vivant en général, ou on peut même le voir de manière encore plus large. Et cet état colloidal, il joue un rôle là-dedans, parce que c'est l'étape dans laquelle il peut y avoir du vivant. Et pour moi, très clairement, les préparations dans l'état colloidal, c'est l'état où elles peuvent s'adresser au vivant.

Elles parlent le bon langage, elles sont dans la bonne disposition. Une citation que je n'ai pas en allemand. Friedrich Benesch, dans un petit livre qui s'appelle la silice, le calcium et l'argile.

Et il nous parle de la dilution homéopathique. Il dit que par la dynamisation, on franchit un seuil où la substance minérale physique va passer à un état agissant, éthérique, supraphysique. Et ça, c'est ce qu'on peut appeler un processus.

Et que du coup, la substance, elle acquiert des propriétés qui sont liées à l'organique et au vivant. On change de monde. Le pont entre la substance et le processus est l'état colloidal de la matière.

On peut parler d'un côté de la condition matérielle et de l'autre côté de la condition physiologique dans le règne du vivant. Je trouve ça aussi une vision très claire de ce que c'est que l'état colloidal. On peut rajouter un petit extrait de Walter Klaus.

Les procédés de dilution et même d'éclosion dans le monde minéral, comme dans le monde vivant, dans le monde naturel, dans la matière, se transforment en un état colloidal. Rudolf Steiner a utilisé cette réalité dans le procédé de préparation du cours agricole. Là, il y a un procédé d'administration de l'organisme qui montre qu'il transforme les compostes et les stables.

Il y a beaucoup de choses là aussi. Non seulement l'état colloidal, mais le point de départ que deviennent les préparations. C'est dans un petit livret qu'il a écrit.

Je n'ai pas le nom en allemand ici, mais je crois que c'est « Anthroposophische Heilmittel », quelque chose comme ça. Je peux vous le trouver. C'est plein de petits trésors comme ça.

Tout ça, pour moi, c'est un petit peu... J'espère que vous m'excuserez de vous présenter tout ça de manière un petit peu rapide et sans avoir le temps d'explorer. Mais ça, c'est tous des points de départ de réflexion. C'est tous des points de départ pour aller approfondir ce qu'on fait.

Et si on veut ramener tout ça ensemble, on peut dire que si on n'arrive pas à avoir nos préparations dans l'état colloidal, on n'arrive pas à les avoir dans la meilleure condition pour agir. J'ai parlé tout à l'heure de langage. Pour moi, si on prend l'image d'un état de la matière comme un langage, l'état colloidal permet de mettre en relation les différents règnes du vivant, la substance avec le vivant, et donc les préparations avec le sol et avec les plantes.

Je prends le temps, j'en parle pas mal, parce que je pense que c'est un élément déterminant. Il y a un Américain qui s'appelle Walter Goldstein. Il travaillait dans un institut de recherche.

Il s'intéressait beaucoup à la biodynamie. Lui, il a comparé. Il s'est dit qu'on peut utiliser la même préparation, plutôt sèche, plutôt humide.

Mais pour moi, le terme, ce n'est pas humide, c'est colloidal. Et il a comparé la même préparation. Il dit que si il garde sa préparation complètement humide, il a une référence de 100% d'efficacité.

Je prends la même préparation, je la fais sécher. J'arrive à 40% simplement de l'efficacité. Là aussi, c'est des essais qui ne sont pas très compliqués, qui permettent d'illustrer.

Et là, ce qu'on vient de voir, c'est ce qui permet de rentrer un peu plus dans la compréhension. Donc, faites vos préparations. Trouvez des substances de super qualité.

Veillez à ce que dans le processus de transformation, elles se transforment complètement pour devenir des colloïdes. Pour la 500, la bousse de vache, elle-même, ça doit déjà être un colloïde, avant qu'on la mette dans la corde. Et puis après, pendant la conservation, elles doivent rester colloidales jusqu'au bout.

Jamais sécher, même pas un petit peu. Et jamais passer dans une phase d'anaerobiose. Donc, trop d'accumulation d'eau.

Et si vous avez un rapport avec les préparations, vous observez... Là, c'est des tout petits récipients, ça ne veut rien dire. Quand vous avez des grands volumes de 500, le degré d'humidité que vous avez là-dedans ne permet pas de comprendre comment cette substance reste saine. Quand je plonge ma main dans 50 cm de profondeur de 500, que ces gorgées d'eau, ça ne moisit pas, il n'y a aucune mauvaise odeur, il y a un état de la substance qui est incroyable.

Il y a un état de santé incroyable. Et ça, pour moi, il n'y a que l'état colloidal qui permet d'expliquer ça. Voilà.

Donc, jusqu'au moment où on les utilise, si on garde les préparations dans cet état-là, de ce que j'ai pu comprendre pour l'instant, on a fait le qu'on a pu. Le deuxième point, c'est la conservation. Les préparations, elles se sont élaborées dans des processus du vivant.

On a mis en interaction les substances, des forces. Et si on veut préserver ça, on l'a vu tout à l'heure avec la citation de Bénèche, elles sont réceptives aux forces du vivant, mais elles sont aussi réceptives aux forces qui perturbent le vivant. Donc, conservation des préparations, mise en oeuvre des préparations, pas de téléphone portable, pas de wifi, pas d'électricité, pas de perturbations qui vont pouvoir imprégner et modeler la matière de l'intérieur.

Quand je dis pas d'électricité, ça ne veut pas dire pas de lumière dans les caves. Par contre, un circuit électrique qui est bien fait, les champs électriques et les champs magnétiques sont drainés, sont évacués. On a plein d'outils pour mesurer ce genre de choses aujourd'hui et on peut veiller à ce que les installations soient correctes.

Pas non plus de pollution par des odeurs, par des vibrations, par des sons, le calme. Ce que j'appelle une pollution, c'est tout ce qui va solliciter mon organisme et lui demander de mobiliser une défense. Un bruit, même s'il est agréable, s'il est permanent, il fatigue.

Une odeur, même si elle est bonne, si elle est trop présente, elle fatigue. Donc, pour les préparations, on essaye d'avoir des lieux de calme, des lieux où l'ensemble des perturbations qu'on a pu identifier soit le plus éloigné possible. Et aujourd'hui, on a clairement une contrainte importante avec tout ce qui est téléphonie mobile et avec tout ce que sont ces hautes fréquences qui sont extrêmement perturbantes.

Et ça, il y a toute une partie de la protection qu'on peut faire simplement en n'ayant pas d'équipements qui sont reliés à des ondes dans la proximité des préparations. Et si ma ferme est dans un endroit où il y a de toute façon beaucoup de champs électromagnétiques, je ne stocke pas les préparations pendant longtemps là. Si je peux éviter de les dynamiser dans un endroit perturbé, c'est mieux.

Dans la dynamisation, vous avez une ouverture de la substance, vous avez une mise en réceptivité de la préparation, de l'eau. Et cette mise en réceptivité, cette ouverture, elle est valable pour beaucoup beaucoup de niveaux différents. Donc, là aussi, on essaye d'adapter, on essaye de créer les conditions qui soient au mieux.

Alors, on va passer rapidement sur les conditions de stockage, mais la silice dans un bocal en verre, à la lumière du soleil, à l'abri de toutes les pollutions imaginables. La 500 et les préparations du compost. C'est valable aussi pour les composts de bouse.

Dans des caisses isolées par de la tourbe. Il y a une erreur très fréquente dans le monde de la biodynamie. Moi, j'appelle ça une erreur.

Les gens me disent « Ah, mais la préparation, elle est dans une caisse, elle est protégée. ». Ah non, non, non, elle est protégée de rien du tout. Steiner, quand il propose la tourbe pour conserver la 500, il dit « C'est pour que la très forte concentration soit maintenue.

» On parle d'éviter une dispersion, une perte des forces. Les préparations agissent par rayonnement, ça a été montré. La personne qui a beaucoup travaillé là-dessus, qui a publié plusieurs études là-dessus, s'appelle Hagel.

Et si on les laisse rayonner comme ça, elles vont finir par se fatiguer. Puis ça va en fait assez vite. Pour moi, c'est une préparation qui n'est pas conservée dans une caisse de stockage correcte.

10-15 jours, on commence à perdre. À partir de quand on estime que ça ne vaut plus la peine de l'utiliser ? Je ne sais pas. Mais on doit avoir de la tourbe, on utilise de la tourbe blonde, de la tourbe de steigne, sèche, complètement sèche, et qui doit environner complètement la préparation, mais sans contact.

Quand je vais activer ma préparation par le brassage, je vais activer le modèle comportemental qui est dans cette préparation, le modèle que la préparation va donner au sol, qui est un modèle de développement de fertilité, de développement d'humus. Qu'est-ce que c'est le modèle comportemental qu'on a dans la tourbe ? Qu'est-ce que c'est l'image qui nous vient si on se dit, la tourbe, qu'est-ce que ça représente en relation à la fertilité ? C'est un blocage complet, c'est une impasse de fertilité, c'est les matières organiques qui ont évolué vers une sclérose, vers une fossilisation. Je ne veux surtout pas activer cette image-là par le brassage.

Deux messages antinomiques entre la seinsan et la tourbe, donc pas de contact entre tourbe et préparation. Et c'est pour ça que ce genre de stockage-là, où on voit la préparation et où on voit la tourbe, je considère que ce n'est pas suffisamment séparé. Et je pense que les peaux en terre, comme ça, comme les peaux de fleurs, ne conviennent pas non plus, parce qu'ils aspirent l'humidité de la préparation, ils la transmettent à la tourbe, ma tourbe devient humide et du coup elle n'isole pas suffisamment, et ma préparation devient trop sèche.

Donc des peaux non poreux, du grès, du verre, du fer émaillé, ça, ça convient très bien. Et ces peaux-là, mis dans les caisses. Voilà, il y a des plans, on prend bien sûr du bois pas traité, il y a plein de petits détails comme ça, et c'est pas très compliqué.

Je pense avoir dit l'essentiel. Ça va sur cette question du stockage ? C'est rien de compliqué, c'est des petits détails, c'est tout. Quand j'arrive sur un domaine et que je vois que la préparation est mal conservée, je sais que j'ai le premier critère qui fait qu'elle va moins bien fonctionner.

C'est pas plus compliqué que ça. Alors la qualité de l'eau qu'on utilise pour brasser. On revient à notre petit fil historique.

Tous les auteurs sont d'accord pour dire que la qualité de l'eau c'est très important. Et tous décrivent que la qualité de l'eau de pluie c'est la meilleure. Mais qu'on peut aussi utiliser des eaux de sources, des eaux de rivières, des eaux de barrages, à condition qu'elle soit limpide.

Quand vous arrivez dans les années 80, les auteurs commencent à dire que l'eau de pluie est super, mais maintenant on a un nouveau problème, c'est qu'elle est très polluée. On a le phénomène des pluies d'acides, on a les pollutions industrielles, et là on a un problème. Et puis on a une autre partie des auteurs qui vont commencer à dire que l'eau de pluie est très polluée, mais si on élimine les premiers millimètres qui tombent, on arrive à se débarrasser de ces polluants.

On va trouver ça de manière de plus en plus précise. Podolinski amène ça de manière très précise. Mon père amène ça de manière très précise.

Et on va trouver des moyens de collecter l'eau de pluie de manière assez simple. Ça par exemple. Le phénomène est assez simple.

Les premières gouttes d'une averse se forment autour des particules qui sont en suspension dans l'atmosphère. Alors ces particules, c'est des poussières, c'est des pollens, c'est des éléments de pollution qui viennent des automobiles, de l'agriculture, de l'industrie. Et on a estimé pendant longtemps que si on enlevait les deux premiers millimètres de pluie, on nettoyait les particules en suspension dans l'air et celles qui étaient déposées sur les toits.

Puis au fil du temps, à mesure que les pollutions deviennent de plus en plus sérieuses, de plus en plus copieuses, on a ajouté un peu. Aujourd'hui, on recommande d'enlever 5-6 millimètres d'eau de pluie à chaque averse. Et là ça mériterait qu'on fasse un travail pour préciser ces choses-là.

Là, le processus est très simple. J'ai la descente de mon toit et l'eau est évacuée dans ce premier bac. Ce bac-là, il est dimensionné par rapport à ma surface de toiture.

Si je veux enlever 5 millimètres de pluie, pour un toit 1 millimètre de pluie, c'est 1 litre sur 1 mètre carré. Donc, pour un toit de 100 mètres carrés, si je veux enlever 5 millimètres, il faut que j'ai un bac de 500 litres. L'eau s'écoule de ce côté-là.

Et ici, j'ai un flotteur. À mesure que ce bac se remplit, le flotteur va remonter et quand il est en haut, ça bascule du côté où j'ai un filtre et mes cuves de stockage. Ce bac-là, il est percé.

Comme ça, il se vide en permanence. Et quand la pluie est terminée, ça se remet en position de départ. C'est rien de compliqué, mais c'est très pratique.

Et ça évite de se rendre compte qu'on a oublié. Ça se fait tout seul. Le stockage, après, ça peut se faire dans des cuves béton.

Dans ce cas-là, il faut les affranchir à l'acide tartrique. Et sinon, de la cuve inox, de la cuve émaillée, un peu ce qu'on veut, un peu ce qu'on a. On constate que l'eau, quand elle est stockée dans des cuves béton enterrées, elle se conserve toujours dans une qualité qui est nettement meilleure que n'importe quelle autre condition. Il y a une relation à l'eau dans la terre qui est assez particulière.

Et puis, ce qu'on va éviter, c'est le plastique et la fibre de verre. Alors, quand je dis éviter, je suis assez gentil parce que pour moi, c'est des substances qui sont absolument catastrophiques. Dans bien des cas, on estime que c'est le plus pratique, que c'est le moins cher, etc.

Mais l'eau, elle se fait imprégner par les polluants avec lesquels elle rentre en contact d'une manière extrêmement rapide, quasi immédiate. Dans les nouvelles connaissances sur l'eau des dernières années, il y a le phénomène d'épixtasie. Epixtasie, je ne sais pas.

En anglais, c'est épixtasie. C'est la faculté de l'eau à prendre de manière quasi immédiate des caractéristiques des matériaux avec lesquels elle rentre en contact. Et quand vous mettez de l'eau dans une cuve en plastique, vous avez des microplastiques qui sont quasi immédiatement mis, qui se retrouvent dans l'eau.

L'ère du plastique, c'est terminé. En tout cas, l'ère de l'idée que le plastique, c'est un truc génial, c'est terminé depuis longtemps. On sait que les pollutions au plastique sont systématiques et généralisées.

Donc nous, pour l'eau, pour les préparations, autant que possible. Pas de plastique, pas de fibre. Si on ne veut pas travailler avec l'eau de pluie, on peut tout à fait prendre de l'eau de source.

Les limites, c'est la pollution, et puis les eaux qui sont trop calcaires. En gros, on cherche une eau qui soit légèrement acide et peu minéralisée. Mais ça, il n'y a pas que chez les biodynamistes qu'on cherche cette qualité d'eau.

Tous les gens qui travaillent avec de l'eau pour des préparations à base de plantes, pour des composts liquides, pour des micro-organismes, plein de trucs, on est tous à peu près dans la même idée de la qualité de l'eau. Même pour les protections phytosanitaires. La différence avec les protections phytosanitaires, les substances qui n'ont pas de sensibilité, si l'eau n'est pas de la bonne qualité, on peut mettre des substances qui corrigent.

Par exemple, sur une eau trop basique, on peut acidifier. Alors que ça, pour les préparations, on ne le fait pas. Donc, si on veut regarder des choses précises, un pH entre 5.5 et 6.5, c'est bien.

À partir de 7, c'est trop, on ne joue pas. Le calcaire est toujours un élément bloquant, quelque chose qui empêche l'activité. Vous le voyez aussi bien sur les sols calcaires qu'avec les eaux calcaires.

Et on connaît ça aussi bien pour les produits, pour les herbicides, pour les lessives, pour tout ce qu'on veut. Et puis, si vous voulez avoir une image claire de cette relation du calcaire à ce qui l'entoure, vous prenez la fin de la troisième conférence du cours aux agriculteurs, et vous regardez comment Steiner décrit l'acilis et le calcaire. Le calcaire, un être avide qui s'empare de tout ce qui passe à sa portée et qui le garde pour lui.

La manière dont il le décrit, c'est juste très visuel et très simple, et très vrai. Et l'acilis, au contraire, il va dire non mais ça c'est un personnage très élégant avec un grand manteau. Et tout ce qui rentre en contact avec lui glisse sur son manteau et il ne garde rien.

Regardez vos sols. Regardez la relation de vos sols avec le nutriment. Regardez les relations de vos sols avec les matières organiques.

Des images simples peuvent parler de beaucoup de choses. Alors si vous êtes sur des sources granitiques ou sur des grès, l'eau en général c'est parfait. Si vous avez des rivières, si vous avez un étang et que l'eau est limpide, ça roule.

Si j'ai que de l'eau du réseau, alors je ne sais pas, c'est pas la même... la politique de traitement des eaux n'est pas la même dans tous les pays. Chez nous en France, si on veut utiliser l'eau du réseau, il faut la laisser s'aérer un ou deux jours pour laisser s'évaporer les chloramines qui sont des corps volatiles. Ça n'enlève pas tous les polluants qu'on a dans l'eau mais ça améliore un peu la situation.

Ensuite on va chauffer l'eau. C'est pareil. Si on regarde au niveau de l'histoire, tous les auteurs ont été d'accord au fil du temps pour dire que l'eau devait être amenée à une température tiède.

Ça c'est ce que dit Steiner. Colisco, elle parle de tiède aussi. Et puis selon les auteurs, on va aller vers des choses plus précises.

La température de la main, 37 degrés. Là on va devenir très précis. C'est chez Rudolf Hauschka.

On ne parle pas d'agriculture. Mais lui, il comprend deux choses. Il y a une température où l'eau est la plus réceptive, c'est 37.

Et que si on dépasse 37 degrés, quand l'eau refroidit, elle ne retrouve pas ses capacités d'accueil, de réceptivité. Donc on va chercher un moyen de chauffer l'eau jusqu'à 37 degrés sans dépasser, surtout pas dépasser 37. Hauschka découvre quelque chose de très intéressant aussi.

Il fait des essais où il chauffe de l'eau avec différentes substances, différentes sources de chauffage. Et puis il fait pousser des plantules et il observe comment ça se passe. Il se rend compte que tout ce qui a poussé avec une eau chauffée à l'électricité, c'est très très perturbé.

Le bois, le gaz, la paille, ça marche. Nous, au niveau pratique, on va aller chercher le bois, pourquoi pas. Le solaire, pourquoi pas.

Mais il faut contrôler la température, il ne faut pas que ça monte trop. Et il ne faut pas que ça reste, il ne faut pas que ça stagne chaud pendant longtemps. Sinon, ce qui est vivant dans l'eau, on l'abîme rapidement.

Au niveau pratique, sur des fermes qui ont de la surface, le gaz, c'est le plus pratique. On peut utiliser l'électricité mais en mode indirect, pour chauffer un serpentin par exemple, dans un système de bain-marie. Il y a plein de possibilités.

Si je dois vous faire une synthèse de mes préférences actuelles, c'est ça. Une tisanière, ça veut dire un grand récipient avec un chauffe-eau à gaz, ça permet de chauffer des grands volumes de manière efficace. Simplement, là, il faut que je remue pendant que ça chauffe, sinon ce qui est au fond, ça va chauffer trop fort.

Et puis le chauffe-eau à gaz, c'est génial, moi je le branche sur ma cuve d'eau de pluie avec un surpresseur pour mettre en pression. Je règle la température et pendant que ça remplit mon dynamiseur, je vais boire un café ou je vais faire autre chose. C'est la situation idéale.

Le but du jeu, c'est de mettre la préparation dans une eau qui est à la bonne température. Alors la bonne température, comme on ne veut pas dépasser 37°C, pour moi on vise 35-36°C. Et là aussi, il y a un travail à faire pour voir, est-ce qu'à 33°C, on est aussi efficace ? Est-ce qu'il y a des variations sur des petites températures comme ça ? A voir.

On n'a pas fini d'explorer le monde. Il y a un truc intéressant, un petit élément, c'est Viktor Schauberger. Il montre que l'eau à 37°C, c'est la température à laquelle elle est le moins réceptive aux champs électriques.

4°C le plus réceptif. C'est quand même rigolo. Nous, on a une température corporelle qui nous mettrait déjà dans un état de protection.

Et pourquoi c'est aussi la même température qui est celle où l'eau est la plus réceptive, la plus ouverte à ce qu'on a dans nos préparations ? Voilà, c'est des questions. Donc, on chauffe l'ensemble du volume d'eau à la bonne température, on met ça dans le récipient qu'on va utiliser pour brasser, on met nos préparations et c'est parti. Et s'il y a une petite variation de la température pendant le processus de brassage, ce n'est pas grave.

On ne cherche pas à brasser dans un thermos. Est-ce que ça va jusqu'à maintenant ? Alors, c'est pour ça que j'ai dit, c'est l'ensemble du volume d'eau qu'on va chauffer. C'est un processus, ce n'est pas juste une température, c'est un processus d'élévation de la température.

Et si je mets une partie de l'eau très chaude dans de l'eau froide, j'ai brûlé toutes les qualités dans la partie qui a trop chauffé et je ne les retrouve pas en la ramenant à la bonne température. Donc, c'est effectivement quelque chose qu'on ne recommande pas du tout. Mais si on regarde ce qui a été décrit par, je crois que c'est Drydax en 1930, Drydax dit qu'on fait comme ça.

On chauffe une petite partie, on le mélange avec de l'eau froide. Et c'est là qu'il faut regarder l'évolution des choses. Les suivants, petit à petit, vont arriver à dire, ah non, en fait, ça, ce n'est pas recommandable.

Je pense que c'est un truc très important quand on regarde la littérature ou quand on regarde un auteur. Il faut regarder ses derniers textes. Il faut regarder ce qu'il a écrit à la fin.

Quelqu'un comme Feiffer, qui a beaucoup publié, vous avez une évolution très claire. Podolinski, vous avez une évolution très claire. Les conférences qui sont publiées, qui datent des années 75 à 85 et ce qu'il raconte dans les années 2000, ce n'est plus pareil.

Il a fait du tri. Il a compris d'autres choses. Il a évolué.

On évolue tous. Si moi, dans dix ans, je racontais la même chose qu'aujourd'hui, ça serait quand même triste. Ça serait un peu sclérosé.

Donc, c'est pour ça que j'aime bien ce regard historique. Il permet de voir comment on a évolué, comment certaines idées ont été gardées et améliorées, comment certaines ont été laissées de côté. Merci pour la question.

Alors, le brassage. Bon, on a la description de Steiner, dans le cours aux agriculteurs. Elle est claire.

Il décrit trois choses. Le fait qu'on va mettre en mouvement l'eau dans une direction, qu'on va repartir dans l'autre direction de manière énergique pour faire un chaos bouillonnant. Et puis, le fait que ça doit durer pendant une heure.

Et le terme qui est utilisé, c'est Georg. Voilà. C'était aussi un mot que mon père aimait répéter, répéter, répéter.

Il mérite d'être répété parce qu'on l'a trop oublié. On a l'anecdote que je vous ai racontée tout à l'heure où Steiner montre la dynamisation. Et puis après, on peut essayer de comprendre.

Qu'est-ce qui se passe ? Podolinski. Podolinski, pour moi, c'est l'étape la plus aboutie dans la précision pour la mise en oeuvre des préparations. Et lui, il va proposer des limites en disant, si vous brassez à la main, 30 litres, c'est le maximum.

Si vous brassez avec une pâle, vous pouvez suspendre une pâle et jusqu'à 110, 120 litres, ça marche. Mais il n'aimait pas ça parce qu'il considérait que souvent, on ne le faisait pas assez énergique. Et si on fait une machine, au-delà de 260 litres, aucune machine ne peut faire un chaos suffisamment énergique.

Ça, c'était ses limites à lui. Moi, je ne les prends pas exactement pareilles, mais on n'est pas très loin. Je vous ai raconté tout à l'heure que Pfeiffer, mais on le retrouve aussi dans les écrits précédents, dans un certain nombre d'écrits, limite les quantités dynamisées à la main parce qu'il faut que ce soit suffisamment énergique pendant une heure.

Pfeiffer raconte un autre truc amusant dans ce document de 1955. Il fait des morphochromatographies, il fait des cristallisations sensibles et il dit, mais moi, quand je fais des analyses sensibles comme ça, c'est bon pour la traduction, les deux termes ? Ça est morphochromatographie. Alors chromatographie, on peut dire chroma.

Et lui, il dit, quand je fais ces travaux-là, sur une préparation qui a été brassée par quelqu'un, je vois dans la cristallisation l'état de la personne. Il dit, si vous voulez brasser à la main, il ne faut pas le faire directement, il faut le faire avec un outil entre la personne et l'eau. Ça veut dire qu'en 1950, lui, il raconte qu'il arrive à voir l'influence de la personne, de l'état intérieur de la personne sur ce qui est brassé.

C'est juste amusant. C'est des questions qu'on se pose, c'est des questions qui accompagnent notre mouvement depuis bien longtemps et au fil de l'histoire, il y a des gens qui ont amené des points de vue. Il dit, dans certains cas, il vaut mieux brasser avec une machine.

Dans certains cas. Chacun va se faire son idée. Moi, je vais vous raconter qu'est-ce que j'estime acceptable ou pas pour une machine.

Alors moi, je fais partie des gens qui estiment que quand tous les aspects matériels sont bien faits, on a déjà une bonne base. Et dans mon rôle de conseiller, je ne m'autorise pas à parler aux gens de leur relation intime aux vivants. On peut venir là, on peut parler de ces choses-là, mais pour moi, c'est chacun qui va trouver sa relation.

Donc moi, mon attitude interne, ce n'est pas seulement quand je dynamise, c'est à chaque fois que je rentre dans une cave à préparation. Je n'emmène pas tout le monde dans mes caves à préparation et je n'emmène pas les gens dans n'importe quel état. Donc c'est plus large que juste la dynamisation.

C'est toute une relation aux vivants, c'est toute une relation à vos plantes, à vos sols. Et moi, je n'ai pas envie de le focaliser que sur ce point-là, comme c'est fait très souvent. Et je vais peut-être vous choquer, mais je dynamise bien plus souvent avec une machine qu'à la main.

Toutes les photos de sol que je vous ai montrées, je pense que c'est 100% des cas, c'est dynamiser avec des machines. Et je n'ai aucun problème avec ça. Par contre, ça dépend de comment fonctionne la machine.

Et c'est de ça qu'on va parler dans pas longtemps. Avant de parler de la main ou de la machine, pour moi, il faut regarder un peu ce que c'est que le chaos. Qu'est-ce qu'on cherche dans la dynamisation ? Alors on veut activer notre préparation, on veut la mettre en lien avec l'eau et puis on veut l'activer.

Et en fait, si je regarde un petit peu ce que me disent les gens qui font de la recherche pour la pharmacie, en particulier pour l'homéopathie, c'est eux qui ont le plus avancé sur la compréhension des processus de dynamisation. Quand je dynamise, quand j'ai des processus de succution, la formation d'un vortex, son but, c'est de faire un bon chaos. Et je pense moi aussi que le vortex a pour seul objectif de préparer le meilleur chaos possible.

Parce que dans le chaos, visualisez votre vortex. Vous avez l'eau qui tourne, et puis imaginez que cette eau, ça soit un voile, un voile dans un tissu extrêmement léger. Et vous avez un beau vortex.

Et là, vous rentrez votre main par le côté comme ça. Qu'est-ce qui se passe ? Vous générez des énormes turbulences. Vous avez plein de bulles de vide qui viennent se mettre, se mêler à l'eau.

Vous transformez complètement toute la structure de l'eau que vous aviez créée. Et plus votre vortex était beau, plus votre chaos, il va être efficace. Et quand je dis efficace, il y a deux choses qu'on recherche.

Les bulles de vide dont je viens de vous parler, on appelle ça des cavitations. On cherche à générer un maximum de cavitations dans l'eau. Parce que quand on forme des cavitations, on modifie les clusters, on modifie l'organisation moléculaire de l'eau.

On la réorganise. Imaginez une grappe de raisin. Vous avez la rafle et vous avez les baies.

Vous enlevez toutes les baies, vous les redisposez différemment. C'est ça qu'on fait quand on modifie la structure moléculaire de l'eau. Et on sait que dans cette opération de modification moléculaire, l'eau est capable de prendre un message et de le garder avec elle pendant un certain temps.

C'est ça qu'on fait dans une dilution, c'est ça qu'on fait dans une dynamisation. On transforme la structure moléculaire de l'eau et on lui associe un message qu'elle peut garder. Et elle ne le garde pas indéfiniment.

Dans le cas de nos préparations, on sait que la 500 ou la 500P, c'est pendant une heure après la fin de la dynamisation qu'on est le plus efficace. Et après ça commence à retomber, à diminuer. La silice, c'est un minéral, c'est plus stable.

C'est pas aussi fragile. On a trois heures pour pulvériser. La 500 pour moi, vous avez une heure où vous êtes au top de l'efficacité, vous avez une deuxième heure où ça va encore pas mal, mais après ça vaut pas la peine.

C'est pas la peine d'aller pulvériser une 500 qui a été dynamisée au bout de deux heures. Mais si je vous dis ça, c'est parce qu'il y a des essais de terrain qui ont montré qu'à un moment donné, on n'a plus les résultats visibles. Alors peut-être qu'on a des résultats sur d'autres plans.

Peut-être qu'on peut observer des modifications sur des plans plus subtils. Mais moi, je n'oublie pas une chose, je travaille avec des paysans. Notre relation première, c'est celle au sol, à la plante, à l'aliment.

Et c'est ça qu'on veut transformer. Tant que l'humain s'inscrit dans un développement, dans le monde matériel, dans le monde physique, je pense qu'on a, en tant que paysans, le devoir d'agir de cette manière-là. Et c'est pour ça que je regarde, je prends comme un critère déterminant l'évolution d'un sol.

Donc, pour faire un chaos efficace, il faut que j'ai un bon vortex. Et puis il faut que je mette de l'énergie, donc je peux pas avoir un trop gros volume. Et puis, on peut chercher à avoir un récipient qui a un fond bombé.

C'est beaucoup plus facile pour mettre l'eau en mouvement. C'est plus facile, ça veut dire, en fait, j'ai besoin de mettre moins de force. Quand vous brassez dans un récipient avec un fond plat, ou le même volume dans un récipient avec un fond bombé, vous êtes moins en lutte contre l'eau.

La mise en mouvement et l'inversion, et le redépart en mouvement dans l'autre sens, sont beaucoup plus fluides, sont beaucoup plus sympathiques, faciles, je ne sais pas. Alors, la question du brassage mécanique. J'ai bien compris qu'on ne serait pas tous d'accord.

Il y a toujours l'argument de dire, Steiner, on lui a posé trois fois la question et il a répondu. Moi, je pense qu'il n'a pas bien répondu. Je pense qu'il y a deux fois où il fait le tour, il contourne un peu le sujet, il fait des réponses très longues, mais il n'amène pas des réponses très précises.

C'est mon point de vue. Moi, je retiens le moment où il dit, on ne peut pas approcher d'un processus si intime de la nature avec quelque chose de purement mécanique. Et moi, je focalise sur cette petite phrase-là, parce que pour moi, le purement mécanique, il est super important.

Si j'ai un moteur qui fait le travail, c'est la même histoire que d'utiliser un tracteur, c'est la même histoire que tous les éléments de mécanisation pour faciliter le travail dans plein de dimensions. Pour moi, la problématique, elle est plus sur qu'est-ce qui génère l'inversion du mouvement. Si je mets une minuterie, là, je rentre en relation avec le monde des fréquences, avec le monde des cadences.

Et ça, c'est un monde de la sclérose, c'est un monde qui n'a aucune relation avec le vivant. C'est bien le problème des champs électromagnétiques, qu'on parle des basses ou des hautes fréquences, ils perturbent le vivant. C'est une hypothèse que j'emprunte à quelqu'un qui s'appelle Edwin Hübner.

Il a écrit un petit livre, c'est des carnets de médecine anthroposophique, je ne sais pas comment c'est, je ne sais qui s'est publié en langue allemande. Et lui il dit, peut-être qu'on peut comprendre la perturbation du vivant par les fréquences, parce que le vivant il est dans une relation toujours mouvante, toujours rythmique, toujours en adaptation. Jamais le mouvement s'arrête.

Quand le mouvement s'arrête, la vie s'arrête. Quand le rythme s'arrête, la vie s'arrête. Et quand je mets à côté de quelque chose qui doit vivre dans ce mouvement permanent, et que je le mets au contact de quelque chose qui est totalement rigide... Quand je mets quelque chose de totalement rigide à côté de ça, est-ce que c'est pas par là que je dérègle, que je ne permets plus à l'organisme vivant de garder sa souplesse ? Est-ce que je ne le rigidifie pas ? Et est-ce que c'est pas ça une manière d'expliquer les problématiques qui sont liées à ces fréquences ? Si vous voulez, l'électricité qu'on a là, c'est du 50 Hertz, et c'est une invariabilité absolue.

Tant que la source émet, ça marche. Mais mon système respiratoire, mon système cardiaque, sont dans une adaptation permanente à mon activité physique, à mon activité psychique, à ma perception du monde extérieur, à tout en fait. Juste là, vous pouvez modifier complètement le fonctionnement de vos systèmes rythmiques en pensant à un truc qui vous est très agréable ou un truc qui vous agace bigrement.

Le rythme. Haustein l'avait demandé à Steiner, elle lui avait dit, mais est-ce que vous pouvez nous parler du vivant ? Est-ce que vous pouvez nous parler de la vie ? Et Steiner lui répond, non, c'est trop compliqué. Étudiez les rythmes.

Tout le vivant est basé sur des rythmes. J'adore cette petite phrase. Et pour moi, la dynamisation, elle doit être rythmique.

Elle doit être dans une interaction permanente et dans une modification permanente avec l'environnement et avec ce qui se passe dans la cuve. Quand je brasse à la main, je suis dans cette adaptation permanence puisque je regarde ce qui se passe et que quand j'estime que mon vortex est bien formé, je repars dans l'autre sens. Et vous savez très bien que quand vous faites ça dans les premières minutes de la dynamisation et au bout de 20 minutes, c'est déjà plus de la même durée.

La fluidité de l'eau, elle a changé. Si la température extérieure n'est pas la même, si les conditions atmosphériques ne sont pas les mêmes, ce n'est pas la même durée. Ça se joue sur des petites choses tout en finesse, mais moi, à la main, je m'adapte toujours.

Et moi, je pense que si on peut trouver une machine qui dynamise avec cette capacité-là d'avoir un palpeur, d'avoir une mise en rythme de la dynamisation, on fait un boulot qui est correct. C'est ce qu'ont fait les Australiens. Les Australiens, ils ont considéré que les machines à dynamiser basées sur des minuteries, ça ne convenait pas.

C'était quelque chose de beaucoup trop brutal et inapproprié par rapport au monde vivant. Et ils ont travaillé sur des machines comme ça. Vous connaissez peut-être ça très bien.

Là, il y a un petit tuyau et c'est percé ici. C'est-à-dire que quand j'ai l'eau qui est dans ma cuve, elle est au même niveau dans le tuyau. Et quand elle monte sur les parois que j'ai le vortex qui se forme, elle monte en même temps dans le petit tuyau qui est là.

Ça va pousser l'air qui est dans le tuyau qui va déclencher un pressiomètre, un interrupteur à pression. Ça veut dire que l'inversion de mon mouvement est toujours pilotée par le mouvement de l'eau. Et que si le mouvement de l'eau varie parce que la température a changé, parce que je ne sais pas quoi, la machine va suivre.

C'est toujours le mouvement de l'eau qui détermine l'inversion. Et moi, j'appelle ça un système rythmique. Parce que c'est l'eau qui pilote, parce que les conditions atmosphériques, parce que cette relation avec l'environnement est là et c'est elle qui dirige.

Donc la machine, dans ce cas-là, le moteur ne devient qu'un outil. Et c'est pas le moteur qui décide. Si j'ai une minuterie, c'est le moteur qui décide, c'est la minuterie qui décide.

Et ça pour moi, c'est très différent. Après, ils ont fait le choix de travailler avec un matériau qu'est le cuivre. Au début, c'était pour des raisons très pratiques.

C'est juste que si vous voulez faire un fond arrondi avec le cuivre, c'est super facile. Tout le monde peut le faire chez lui au domaine. Après, on peut rajouter plein d'autres bonnes raisons, mais à la base, c'était ça.

Moi, ce que j'aime avec le cuivre, c'est que c'est très facile à nettoyer. On arrive à avoir un dynamiseur propre en permanence. Et puis, ouais, c'est déjà pas mal.

Donc moi, je travaille beaucoup avec ces machines-là. En Europe, c'est fabriqué par une entreprise qui s'appelle Ecodin. Et ce que je vous disais tout à l'heure, c'est que tous les résultats que je vous ai montrés, ils sont faits avec des machines comme ça.

Par contre, quand on met en comparaison différents types de machines à dynamiser, on observe systématiquement que les machines qui sont basées sur des minuteries donnent des bien moins bons résultats, que les machines qui sont basées sur des grands volumes supérieurs à 250 litres donnent des moins bons résultats, et que les machines chez lesquelles l'inversion du mouvement n'est pas assez vigoureuse ne donnent pas des bons résultats. Et dans les différentes machines à dynamiser qui existent en Europe, il y a ça qui marche très bien. Je me permets de donner un point de vue très direct.

Toutes les autres machines que je connais fonctionnent moins bien, et il y en a une ou deux qui sont carrément nulles. C'est-à-dire avec lesquelles, si je veux observer la mise en efficacité des préparations, il faut plusieurs années. En fait, on fait des parcelles où on compare, et on a fait ça avec mon père à l'époque.

Pendant trois ans, on a comparé les mêmes préparations dynamisées à la main, avec un Ecodin, avec un Flowform, les vases que vivent, les préparations mises dans de l'eau mais pas dynamisées, et puis un témoin avec rien. Et on a fait ça sur des légumes, sur des céréales et sur de la vigne, pendant trois ans. On voit assez facilement des différences.

Puis après, on l'a refait avec d'autres systèmes de dynamisation. Donc voilà, l'essai comparatif basique permet de comprendre pas mal de choses. Et dans cet essai, on n'a pas réussi à montrer, sur le plan des résultats sur le sol, sur la conservation et la qualité des fruits et des légumes, on n'a pas réussi à trouver de différence de qualité entre le manuel et le mécanique.

Donc, la question de tout à l'heure sur mon attitude intérieure quand je dynamise, moi je la mets dans un plan qui est celui des compléments. Vous allez faire de l'agriculture, vous avez besoin d'avoir des bonnes bases agronomiques. Et en plus de ça, vous pouvez estimer qu'il y a plein d'autres dimensions qui rentrent en jeu, dans la relation à l'animal, dans la relation au végétal, dans la relation au sol, dans la relation à la ferme.

Pour moi, dans les préparations biodynamiques, j'ai besoin d'avoir les bonnes conditions de base, c'est ce qu'on est en train de regarder là. Et après, par exemple, vous pouvez travailler en regardant les rythmes lunaires et planétaires. Ça ne change pas le travail de base, mais ça peut être des petits compléments.

Moi j'appelle ça des coups de pouce, c'est des petits compléments. Et si on les utilise bien, ça peut être des trucs super. Mais si je ne le fais pas, c'est pas grave, j'ai besoin que le travail de base soit bien fait.

Et la relation, l'intention, l'attitude qu'on peut avoir dans ces moments-là, pour moi c'est pareil, c'est un complément. Et je suis moi-même convaincu que ça a une importance, mais je vois dans les gens avec qui je travaille, il y a plein de gens qui n'ont pas cette relation au début. Et ça n'empêche pas d'avoir des super résultats, de sortir du produit biodynamique, qu'on peut appeler biodynamique parce qu'il se différencie du produit bio, d'améliorer la fertilité des sols, etc.

Donc, par contre, ce que j'aime beaucoup, c'est de voir l'évolution des gens. Parce que souvent vous avez des gens qui vont démarrer sur un domaine de manière très technique. Et au bout de quelques années, vous voyez que les discussions ne sont plus du tout techniques.

Parce que ça a amené à plein de questions, ça a amené à un autre regard sur le monde. Et là l'évolution, elle est venue de la personne elle-même, de par sa relation avec ce qui s'est passé dans la mise en place de la biodynamie au domaine. Donc voilà, moi je prends ça comme des choses très positives.

Alors, il faut que j'avance un peu parce que... Tu as des musiciens qui jouent Schumann pendant que tu brasses? Moi j'ai pas cette chance là, bravo. Parce que si tu veux faire écouter Schumann, en passant par un enregistrement, tu passes par le monde des fréquences. Si tu as une oreille sensible, affinée, tu sais qu'entre un musicien qui joue et un enregistrement, la perte de qualité elle est énorme.

Et plus on va vers des méthodes modernes de séquençage du son, plus on perd en qualité. Alors là pour moi, ça nous ramène à la question des fréquences. Et j'en veux pas.

Et c'est pas parce que moi je trouve agréable une musique que je vais l'imposer. Moi je vois des éleveurs qui mettent de la musique en permanence à leurs animaux. J'leur dis mais, t'as envie toi d'avoir une musique en permanence? Moi j'aime bien le calme.

Donc voilà, je joue pas. Alors, si le raccordement à la terre est bien fait, on mesure rien dans la machine. C'est facile à mesurer.

La pulvérisation. La pulvérisation, pour moi c'est très simple. Les préparations destinées au sol, 500, 500p, composent deux bouses.

Composent deux bouses, c'est Fladen. Elles doivent être pulvérisées en grosses gouttes, à basse pression et sans retour en cuve. La cuve doit être en métal.

La pulvérisation se fait tout de suite après le brassage, dans l'heure qui suit au maximum dans les deux heures. Et tout ça, ça se passe le soir, en fin d'après-midi ou le soir. C'est les rythmes descendants, c'est les rythmes où la terre accueille, c'est les rythmes où ça peut se lier.

La silice, elle doit être pulvérisée très finement, c'est un fin brouillard qui doit retomber sur les plantes. Ça se passe tôt le matin. C'est la période de la meilleure absorption foliaire par les plantes.

Ça se passe tôt le matin quand il y a de la lumière. Et sur certaines plantes, on peut l'appliquer l'après-midi, mais on inverse les processus et pour la vigne, c'est en général très fatigant. Donc je ne le recommande pas pour la vigne.

Voilà, pour faire bref sur la pulvérisation. Et puis il y a le choix des bons moments. Pour moi, l'importance des rythmes de la journée est majeure, les rythmes du matin et du soir.

On évite les nœuds lunaires et les nœuds planétaires. Et c'est la seule chose que je regarde dans un calendrier lunaire. Tout le reste, on en a beaucoup parlé dans les années 70, 80, 90.

Et puis après, on a commencé à faire plein d'essais et à se rendre compte que ce n'était pas ça qui comptait, mais c'était les conditions agronomiques pour le sol ou les conditions physiologiques pour la plante. Donc pour les préparations pour le sol, un sol chaud et humide, ça veut dire biologiquement actif, les préparations ne réveillent pas le sol. Elles donnent une impulsion, elles donnent une accélération à l'activité.

La silice, je l'ai évoquée tout à l'heure, quand ça commence à pousser activement, et il faut venir au début de ce moment-là, on amène l'effet de la silice sur une plante qui est en train de se construire. Si je l'amène quand elle s'est déjà construite, j'ai loupé le coche. Et la silice sur les moments de maturation, concentration, on en a parlé tout à l'heure.

Et puis après sur les coups de pouce supplémentaires, une saison qui est trop pluvieuse, une saison qui n'a pas assez de lumière, là la silice, il n'y a pas de limite. Sur la vigne, dans une saison pluvieuse, vous pouvez passer 15 silices dans la saison, il n'y a pas de problème, ça ne sera que du bénéfice sur la santé de la vigne et sur la qualité du raisin. Donc la silice, il faut mécaniser l'application de la silice parce que là où elle est le plus nécessaire, c'est en général dans les périodes où on a le plus de travail par ailleurs, et il faut arriver à le faire vite, je considère par rapport à l'utilisation du cuivre comme antifongique, qu'une silice c'est aussi important qu'un cuivre.

Sauf que la silice elle n'agit pas en tapant sur le cryptogamme, elle agit en constituant de la santé. Je vous ai parlé tout à l'heure du cours aux agriculteurs comme un cours où on parle d'interaction partout. Le deuxième point central dans le cours aux agriculteurs pour moi c'est la création de santé, la salutogénèse.

Tout le cours aux agriculteurs, c'est une proposition pour créer de la santé dans le domaine agricole. Et la silice, c'est un outil majeur parce qu'elle amène la santé pour la plante et elle amène la qualité pour les produits, donc elle amène la santé pour l'humain ou l'animal qui consomme le produit. La silice c'est un outil de santé.

Mais c'est pas un outil de santé si je l'amène trop tard, quand les processus sont déjà faits. Alors est-ce que je peux ne pas prendre de questions parce qu'il me reste deux minutes ? Merci. Sur les rythmes, je ne regarde absolument pas le rythme sidéral.

Les jours racines, feuilles, fleurs, fruits, à mon avis, n'ont rien à voir avec la vigne et n'ont rien à voir avec les préparations. Je vous dis ça comme ça, si vous voulez on en discute cet après-midi. Les rythmes montants et descendants, on a montré qu'ils étaient moins importants en fait que les conditions agronomiques.

Donc de manière simple, on va rester sur les rythmes du matin, du soir comme étant les plus importants. Une petite conclusion. Alors tout ce que je vous ai montré là, c'est l'état actuel de nos connaissances.

C'est fait pour être mis en cause et pour être amélioré. Je considère comme un critère déterminant le fait de pouvoir juger sur des résultats observables. Pas par des méthodes analytiques complexes, pas par des traitements compliqués de la réalité, mais par des choses qui sont une évidence pour l'essence.

Parce que c'est mon premier rapport au monde. Ce qu'on a vu là, c'est que pour activer les préparations, on a eu besoin de rassembler plein d'éléments qui sont des fondamentaux, des bases fondamentales du vivant. L'état colloidal de la substance, qui permet aux forces de vie de venir s'emparer de la substance.

L'eau, qui est le support de toute vie. La chaleur, à la juste dose. Chaque organisme vivant a une chaleur qui lui est propre, qui lui permet d'être en équilibre.

L'oxygène qu'on amène dans le brassage, mais aussi la mise en mouvement et la mise en rythme qu'on met dans la dynamisation. Et tout ça, ça nous amène à faire passer une substance dans un état d'activité. Ça nous amène à mettre en contact la substance qui est à la base des préparations avec le vivant.

Et on revient à l'état colloidal. Les colloïdes des préparations peuvent s'adresser aux colloïdes du sol et des plantes. Et comme ça, les forces qui sont agissantes dans le vivant peuvent être stimulées.

Je pense que dans le monde de la biodynamie, on a une responsabilité. On constate que quand c'est bien fait, bien utilisé, les composts et les préparations ont une capacité à transformer la réalité avec laquelle on travaille. Et dans beaucoup d'endroits, la biodynamie, elle a souffert du fait que ce n'était pas le cas.

On connaît beaucoup de situations où on parle de biodynamie, mais on ne l'observe pas. Et ça, c'est tout le mouvement biodynamique qui en souffre. Donc si on veut faire avancer la biodynamie aujourd'hui, il faut faire connaître ses bonnes pratiques.

Il faut faire évoluer ses pratiques sur les domaines. Il faut accepter que ce qu'on a appris à un moment donné, ça peut évoluer, ça peut être remis en cause. Ce n'est pas des mises en confrontation, c'est des évolutions.

C'est un chemin vers l'avenir. Et ça, on en a besoin partout parce que le but de la biodynamie, c'est quand même améliorer la fertilité des sols, améliorer les conditions de vie sur Terre pour maintenant, pour l'avenir de la Terre. C'est jouer sur la qualité alimentaire.

On peut regarder ça dans des perspectives très immédiates, mais dans des perspectives d'évolution beaucoup plus larges. Et ça, on peut le faire, mais ça demande beaucoup de précision. Et c'est à ça qu'on essaye de travailler.

J'espère que ces quelques apports auront permis de vous partager un peu tout ça. Voilà. Bon appétit.

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